Sonko et Birahim Seck sont en train de reprendre leur jeu favori : » l’enfumage », estime le leader du Parti de l’indépendance et du travail (Pit), Ibrahima Sène.
Corruption…
D’après Ibrahima Sène, dans tous les pays du monde où il y a « corruption », le premier responsable, c’est bien le » Chef de l’Exécutif » qui n’est pas parvenu à prémunir son pays de ce fléau.
Dans ce sens, Sonko n’a rien dit de nouveau par rapport aux responsabilités des Chefs de l’Exécutif, que ce soit en Afrique, aux Etats-Unis, ou en France, où sévit bel et bien, la » grande corruption » et souvent à des niveaux insoupçonnés de l’Etat.
Responsabilité…
» Mais ce que Sonko n’a pas dit, et qui lui permet de jouer de façon politicienne sur les gens insuffisamment avertis, c’est que cette « responsabilité institutionnelle », ne veut pas dire « responsabilité pénale », déclare M. Sène.
Structures…
Pour lui, il y a dans notre Pays, des structures autonomes chargées d’identifier les » cas de corruption » et de « déterminer les protagonistes ».C’est le rôle de la « Cour des Comptes » et de » l’OFNAC ». Et pour juger de la culpabilité des suspects, il y a la CREI